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Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun
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Park Yeonwoo
Park Yeonwoo
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Force (1) ~ Perception (4) ~ Endurance (4) ~ Charisme (5)
Intelligence (7) ~ Agilité (8) ~ Chance (2)

"Je continuais à te sourire. Malgré une douleur au fond de mon coeur, ce fragment de soleil sur mon visage s’avérait sincère. Et si tu entrevoyais au coin de mes yeux, la pluie perler, rappelle-toi que c’est ainsi que naissent les arc-en-ciel." #YeonKi

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Ra On
Rayon de Soleil filtrant à travers les nuages, de la chaleur de son sourire elle resplendit. Impétueuse et victorieuse, elle respire la vie à plein poumons. Enfermée, sa gorge s'assèche d'un désir de liberté. Princesse intrépide, elle défie fièrement le danger. Jolie effrontée qui sous son nom de naissance a hérité de la grâce de la Joie.

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Yeonwoo
Clarté lunaire, caresse apaisante, du bout de ses doigts elle confère la douceur. Aimante, elle défend et protège ceux qui lui sont chers. Son esprit se déchire à la vue des conflits entre tous ceux auxquels elle tient. Insaisissable orpheline, elle est l'enfant de tous et de personne. File au gré du vent en quête d'un amour éperdu. Clair de lune dessiné par les nuages sous la bénédiction d'une pluie scintillante.


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Elle est le soleil qui réchauffe,
l’orage qui gronde, l’étoile qui scintille,
la lune qui éclaire dans l’obscurité.


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ϟ HUN ✭

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I’ve never forgotten about you even for a single day
In this life, next life
Even if I can meet you I tear up because of you
Even if the sad fate’s shadow covers me
I can’t get rid of myself who loved you ♫

Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun - Page 2 555572tumblrorieqzfruU1rzk6m3o5r3400


I miss you, I miss you so much, I can’t ever forget you
My tears, my heart is calling you
I love you, I love you so much, I can’t ever let you go
I’m lost behind you
So I’m only crying My Love ♫


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My One and Only You
If only you can see
my frozen heart someday
Like a miracle, like a dream
I hope you will be there,
when I dreamed of you
Eventually, in the end,
I hope we will become each other's desperate wish


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I Believe ღ

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MessageSujet: Re: Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun - Page 2 EmptyMar 2 Jan - 21:40

Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ?
ft. Wang Kwang Sun
Du temps, il m’en fallait encore un peu pour me préparer à l’acte de tirer. Peut-être n’aurais-je dû me diriger directement dans la salle de tir après avoir reçu mon arme. D’ailleurs, si j’avais attendu peut-être aurais-je eu le droit à une première véritable leçon en bonne et due forme. Non pas que tu ne fus un bon professeur. Au contraire, je t’étais reconnaissante de te donner autant de mal pour bien faire. Roi égoïste, si tu savais aussi de montrer bon et généreux quand tu le voulais. À cette pensée, discrètement, je souriais. Toi non plus d’ailleurs ta cuirasse, tu n’avais su résister à l’effet Park Ra On. La preuve que je puisse être une source de chaleur dans le coeur de gens, me ravisait autant qu’elle m’inquiétait. Mais surtout, cela entrainait la pérennité d’un espoir vacillant, notamment lorsque je me retrouvais fusil à la main. Avaient-ils tous raison ? Etais-je la seule dans le faux ? L’incurable rêveuse qui s’illusionnait quant à ce regard sur le monde ? Celui que vous voyiez tous sombres, tristes et violents. Celui où la haine et la peine demeurent souveraine. Où la mort l’emporte sur la vie. Ce monde, n’avais-je fait que rêver à le réinventer coloré ? Et pourtant, tu ne savais, ne soupçonnais comme la seule affection que tu puisses éprouver à mon égard participait à raviver cet espoir.

Tes mots, je les écoutais, les enregistrais, les interprétais aussi, un peu à la façon dont je l’entendais. Celle qui me permettrait d’accepter l’idée d’utiliser une arme à feu. Derrière la notion de défense et de protection, nous n’avions sans doute pas exactement la même conception. La même perception de la finalité d’un tir. Tandis que je t’observais prendre posture pour tirer, te concentrer, je ne le saisis qu’avec d’autant plus de certitude. Peut-être pouvais-je accepter de tirer, de viser, de blesser, mais pas de tuer. Toi, telle était indéniablement ta volonté. Je ne te jugerais pas pour autant. Dans ces mondes où j’ai grandi, ton rapport à la mort se révélait bien moins rare que le mien. Nombreuses de personnes, notamment celle agissant sur le terrain, en-dehors des clans s’était forgée une mentalité qui les autorisait à tuer. Même au sein de chaque camp, sans en franchir les frontières, il était devenu commode de penser ainsi. Peut-être que les habitants de l’Abri dérogeait quelque peu à la règle. Reclus et sans lien avec l’extérieur, pour ceux qui ne sortaient, ils ne ressentaient la nécessité éventuelle d’échanger une vie contre une autre. Et encore, tous ceux qui comptaient des explorateurs parmi leurs proches les préféraient certainement savoir tueurs que tuer. La guerre était finie ? Pourtant, sa loi s’appliquait toujours. Celle qui permettait de tuer sans avoir à être juger.


Mes pensées ne m’empêchèrent pas de rester concentrée. Plus encore que tes parole, s’étaient tes gestes vers lesquels convergeait mon attention. J’observais, analysais, mémorisais ta façon de faire, de porter le fusil, jusqu’à ton regard au moment de presser sur la détente. Je décryptais pour calquer, mimer le moment venu où je devrais réitérer l’essai. Y parviendrais-je ? Après avoir obtenu satisfaction de ton tir dans le coeur de cet individu factice, mon fusil, tu me rendais. Sur son corps de bois et de métal, mes doigts se posèrent, s’enroulèrent. De nouveau, mon visage se rembrunit. « Si j’avais le choix, j’aurais quand même continuer à faire d’une queue de billard une arme efficace, » rétorquais-je, un peu froidement, malgré moi. « Tu ne parviendras jamais à me convaincre que les armes et la mort sont les seules solutions. » Peut-être plus fermement que précédemment, je posais mon point de vue. Je ne te jugeais le tien, et ne chercherais pas à te le faire changer. Du moins, pour le moment. Je t’exprimais ainsi que je te serais gré d’en faire autant, calmement.

L’entrainement je n’abandonnerais pas pour autant. Parce que devenir en capacité de tirer représentait désormais un défi à relever. Parce que, quand bien même peut-être n’en userais-je jamais sur le terrain, j’avais des fantômes à chasser. La mémoire de Hyunki, je devais l’honorer, et non la fuir, et non la résumer à ce bain de sang qui l’avait englouti. Deux balles en pleine tête. Brièvement, mes paupières j’abaissais. J’inspirais et expirais. Que mon souffle balaye ce souvenir, l’efface et l’emporte à travers l’air qui se répandait dans l’atmosphère. La détermination regonflée, mes yeux je rouvrais. Face à une autre cible, je me plaçais. Ombre noire à vague forme humaine, dans son entier, sur un fond blanc, quelle belle façon de déshumanisée l’objectif. Devrais-je me focaliser sur la possibilité qu’il s’agisse d’une goule et non d’un humain ? Une goule n’était-elle plus un être vivant ? Dans la conception des mentalités, généralement non. Dans la mienne ? Je ne savais. Néanmoins, elles se mouvaient, avaient été quelqu’un et en conséquence les abattre signifiaient tuer. Mais était-ce différent des souffrances de Hyunki que Yorell avait abrégé ? Aurais-je pu le faire ? Le pire étant certainement que dans mon coeur, je demeurais convaincue que j’aurais dû être celle à presser sur la détente. Parce que Yorell n’aurait pas été tant ravagé. Parce que Hyunki serait partie l’esprit un peu plus en paix et moins humilié si sa vie lui avait été ôté par un membre de son clan. Cependant, l’heure n’était pas à ce genre de réflexion, avant tout, je devais apprendre et m’habituer à manipuler ce fusil. À ton image précédemment, je me postais comme tu l’avais fait. J’analysais, réfléchissais à l’usage que je voulais faire de cette arme que je pointais à présent en direction de ma victime. Oui, je visais la cible, mais pas cette forme noire, mon objectif, en situation réelle, serait davantage d’effrayer, de dissuader plutôt que je touchais. J’avais bien réfléchi à la morphologie d’une silhouette humaine, à ses faiblesses, ses points stratégiques pour l’immobiliser ou le ralentir sans le tuer, sans causer de dégâts physique irréversible. Or avec les tailles des balles de ce fusil, la tâche s’avérait plus que restreinte. Alors, mon objectif était cette zone blanche entre la tête et l’épaule. Une fois que je me sentais prête à faire siffler la balle à l’oreille de ma cible, je pressais sur la détente. La pression du recul me déstabilisa quelque peu. Je n’avais su l’estimer correctement. Un pas en arrière, un léger inconfort au niveau de l’épaule, je relevais mes yeux en direction de la cible pour constater que la sienne aussi, d’épaule, n’avait pas été épargné. « Aish ! » J’avais raté mon objectif. Peut-être serais-tu satisfait de ce premier essai, ignorant de ma véritable intention. Quoi qu’il en fut, je ne te regardais. Prise dans l’entrainement et mon obstination, je rechargeais et reprenais. Même position mais plus vigilante sur le recul que la fois précédente, je gardais le même objectif en tête lorsque je pressais la détente et… c’était la cible qui avait un trou dans la tête à présent. Un superbe headshot comme nombre en rêverait entre les deux yeux d’une goule. Je pourrais prétendre avoir un vrai don si seulement j’avais vraiment voulu visé la tête…

Le fusil me pesait au niveau des bras et de l’épaule, pourtant, je n’abandonnais pas. Je ferais cent tir s’il le fallait. Je m’en déboiterais l’épaule s’il le valait mais je dompterais ce canon cracheur de feu. Une troisième fois, je recommençais la manoeuvre. Mais puisque vouloir faire siffler la balle à l’oreille semblait être encore un peu trop complexe, je me rabattais sur une zone plus en bas. Tirer à proximité des pieds étaient aussi une méthode de mise en garde courante. Je me rappelais alors soudainement, le tir de sommation exécuté par Hyunki devant mes pieds lorsque Explorateurs et Veilleurs s’en étaient allés frapper aux portes de la prison de la Main Rouge. Que ce tir avait été un avertissement et une manière de me faire reculer, moi l’impétueuse qui s’était approchée de Dongho en le défiant de ma queue de billard… À cette pensée, souvenirs chargés d’émotions, mon doigt pressa la détente tandis que mon esprit se troublait. Brouillard aussitôt dissipé par la détonation. D’un battement de cils, je chassais le voile devant mes yeux et fixais la cible. « Oups… » lâchais-je presque malicieusement en pinçant mes lèvres au constat du trou béant à l’entrejambe de la silhouette noire. Petit sourire amusé, je tournais pour la première fois un regard vers toi. Une étincelle sur la rétine, je serais presque fière de ma bêtise involontaire. Je ne tardais néanmoins à me ressaisir pour effectuer un quatrième tir qui transperça cette fois, la zone blanche à hauteur de cheville. « J’AI RÉUSSI ! » Et je m’exclamais, toute heureuse d’avoir enfin atteint mon objectif ! Je sautillais sur place, me tournais faire toi pour te tendre la paume de ma main afin que tu y plaques la tienne pour me féliciter, mais lorsque je croisais ton regard, je l’abaissais. Je cessais de m’agiter et affichais néanmoins un petit air mutin : « Une arme à feu : d’accord. Tirer : d’accord. Tuer : pas d’accord ! » Tu pourrais alors comprendre que mes si beaux tirs se s’avéraient pas tant de réussites. « Par contre, ce fusil ne me va pas. » Je le soulevais et le brandissais, canon vers le plafond, l’air septique. « Cette arme est trop lourde pour moi. Trop encombrante pour mon affectation. Enfin, ses balles font trop de dégâts. » Ces conclusions s’imposaient dans mon esprit. Cette arme ne me rendrait sans doute pas plus service qu’elle m’handicaperait en mission. Quant à son utilisation : « Si je blesse quelqu’un pour protéger ce n’est pas pour le condamner à une plus lente agonie. » Se vider de sang sans mourir instantanément se révélait bien plus atroce. Pour cette raison que je n’avais pris la cuisse pour cible au risque de toucher l’artère fémorale. « Ou le condamner à une invalidité à vie. » J’aurais pu immobiliser d’un tir dans le genou mais je ne souhaitais pas broyer son articulation et le rendre boiteux pour la fin de ses jours. Pensais-je encore trop naïvement en-dehors de la réalité du terrain ? Peut-être, mais chaque chose en son temps. Pour le moment j’avais plus urgent : « Je vais réclamer un échange à l’armurerie ! » Aussi dit, aussi tôt fait, je m’apprêtais déjà à m’y rendre, fusil en main. À toi de voir si tu m’accompagnais ou si tu m’attendais ici le temps de procéder à un échange et que j’apprenne à me servir d’une arme plus adaptée pour mon cas.
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Wang Kwang Sun
Wang Kwang Sun
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kwang sun est un peu particulier, assez populaire, narcissique, beau, ambitieux, intuitif, malin, débrouillard, excellent dans son domaine, pas si superficiel, bavard, confiant, curieux, pas intrusif, ouvert d'esprit, impulsif, impatient, rancunier, détestable sometimes, lunatique, mais avec son entourage, il peut être possessif, sans gêne, capricieux, boudeur. en mission, il est vif, obéissant et tenace.

Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun - Page 2 Tumblr_ovsvu6game1r9f1l9o3_540_by_iloveyou1989-dbmwhc6

25 ans, né à Busan le premier novembre 2069. ses parents étaient riches avant la guerre, maintenant l'un est un garde de l'abri, l'autre siège au conseil. il a vécu sur terre jusqu'à ses 8 ans environ, avant de se rendre dans les abris. dés qu'il a eu la possibilité d'aller explorer, il l'a fait. il s'entraîne souvent, beaucoup afin d'être à la hauteur de ses propres espérances.

Kwang Sun signifie Dieu ou Divinité en coréen

Il a déjà couché avec des filles, et des garçons. Il ne regarde jamais le sexe de la personne qui lui plaît. Il ne se case jamais, ou alors pour une courte durée, parce qu'il trouve ça encombrant, chiant et ça lui demande trop de temps, trop d'attention.

Son meilleur ami l'a déjà embrassé, parce qu'il était juste impossible à réduire au silence. Sun a tellement rougi de honte et d'embarras, qu'il ne lui a pas parlé pendant plusieurs jours.

c'est ce fameux meilleur ami qui a donné une importance à son anniversaire lorsqu'ils se sont connus. mais c'était sans doute à cause du fait que le cadet était né un jour plus tôt et un an plus tard que lui.

Kwang Sun n'est pas très proche de ses parents. En fait, il essaie de se détacher émotionnellement de tout le monde, mais n'y parvient pas facilement. Une fois qu'il est attaché à quelqu'un, il a du mal à décrocher.

Il s'est battu pour la première fois aux environs de ses douze ans, parce qu'il n'aimait pas les rumeurs qui circulaient sur lui. Il a alors commencé à en balancer, histoire que ça nourrisse la conversation des gens de l'abri, et pour contrôler ce qui se disait.

Il ne sait toujours pas comment il fait pour si bien s'entendre avec son meilleur ami, mais ça semble fonctionner alors il n'y pense plus.

Si l'un est impliqué dans quelque chose, alors l'autre l'est certainement aussi. Plus lié encore que les doigts de la main, ils sont inséparables depuis des années.

Il est clair qu'il excelle dans son domaine, mais ce ne sont pas seulement des "on dits", il est vraiment, sacrément, doué. Mais ses heures d'entraînement sont également nombreuses. Après tout on ne né pas parfait, on le devient.
Localisation : chambre standard familial 01
Explorateur Unité B • chasseur
MessageSujet: Re: Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun - Page 2 EmptyLun 8 Jan - 15:45

défendre ou tuer ? pourquoi apprendre à tirer ?
ft yeonwoo
••••

Tu n'aimais pas ce genre d'armes. Tu étais une personne plutôt petite pour un homme, et tu avais un corps finement musclé, mais qui peinait à prendre du volume. Cependant, bien loin de détester ton apparence, tu te mettais dans la tête de l'entretenir, un maximum, parce que seuls les vrais efforts étaient récompensés. Tu le savais. Tu tentas donc d'utiliser le fusil, mais le premier coup, bien qu'il toucha sa cible, retentit également sur ton épaule et ne fut pas là où tu l'avais espéré. Tu appréhendas donc la chose différemment, tu apprivoisas l'arme et acceptas son poids, tout était psychologique, et une préparation minutieuse était nécessaire. Le second shoot fut une plus grande fierté, tu avais réussi à atteindre ta cible, et plutôt facilement. Les armes à feu, tu avais l'habitude de les utiliser. Tu en avais également une, voilà pourquoi tu savais comment user de leur pouvoir pratique. Ensuite, après tes conseils et ta démonstration, tu redonnas l'arme à Yeonwoo pour qu'elle s'y essaie. Tu ne répondis pas, lorsqu'elle répliqua d'un ton glacial à tes paroles. Tu savais que cette arme ne lui plaisait pas, et que son utilisation la laissait perplexe, voire sur la défensive. Elle n'en voulait pas, et cela poserait problème dans son apprentissage, tu le savais d'avance. Ce n'était pas non plus une arme évidente à porter, elle était lourde, peu importe combien les bras étaient musclés. Cela restait un véritable poids, autant physique que psychologique. Elle demandait trop de concentration, ce qui pourrait coûter beaucoup aux coéquipiers, ou même à la personne qui la portait. Tu réfléchissais, alors que tu guettais d'un oeil un peu distrait ses mouvements. Tu avais les idées un peu ailleurs malgré toi. La mort. Voilà un sujet bien inconnu pour toi.

Le premier shoot te fit sursauter, tant tu étais parti dans tes pensées. Tu regardas la cible avec un air encore plus pensif, remarquant par la même occasion qu'elle n'avait pas assez pris en considération le recul de l'arme au moment du tir. L'épaule. C'était un endroit stratégique, bien placé, mais tu te doutais que ce n'était pas l'intention de Yeonwoo. Tu la connaissais à force la petite, elle voulait atteindre la perfection, tout comme toi. Elle ne daigna pas te regarder, continuant à se concentrer. Mais tu parvenais à ressentir cette haine envers les armes, cette rage de ne pas vouloir l'utiliser, cette appréhension qu'il soit possible qu'elle tue quelqu'un. Ce n'était pas la bonne manière, ce n'était pas comme ça que ça devait se passer mais tu préféras garder le silence. Ce n'était pas utile de parler, tu ne ferais que la déconcentrer. Tu croisas donc les bras, t'écartant un peu pour éviter que le deuxième tir ne te fasse sursauter. Et là, à la troisième cartouche brûlée, ton rire retentit dans la pièce, faisant écho au silence qui s'était installé après le tir. « Wah ! Quel tir ! Si tu veux punir un homme, c'est la meilleure des cibles ! » Tu ne pus arrêter de rire avant quelques secondes, un sourire restant ensuite collé à tes lèvres, alors que tu la regardais se concentrer de nouveau. Et lorsqu'elle s'exclama de sa réussite, tu n'attendis pas pour frapper la paume de sa main avec la tienne, pour lui communiquer ta joie également. Tu étais plutôt fier d'elle, elle avait réussi en peu de temps, comme si elle était destinée à devenir une chasseuse hors pair.

Tu pouffas de rire ensuite, lorsqu'elle énuméra les points avec lesquels elle était d'accord, et celui avec lequel ce n'était pas le cas. « c'est plutôt intéressant oui ! » Tu étais d'accord avec elle, même si ta vie valait plus que toutes celles réunies de l'abri, à l'exception de quelques unes, tu ne savais pas si tu serais capable de tuer un humain de sang froid. Tu sauverais ta vie, mais en dépit d'une autre ? Tu n'étais pas certain. Tu n'avais encore jamais été confronté à ce genre de cas, cela te laissait penser qu'il y avait encore des éléments que tu ne connaissais pas sur toi. « Je suis plutôt d'accord, il te faudrait une arme plus légère. » Tu te posas de manière pensive, alors que tu réfléchissais à ce qui pourrait lui convenir, l'écoutant parler de manière si sûre d'elle. Elle le devait, après tout, dans ce monde-là, on devait être sûr de ses décisions, cela tombait sous le sens. Avec cette conversation, Yeonwoo avait réussi à toucher un petit bout de ton coeur, et un étrange sentiment s'installa au creux de ton ventre. Jaehwa. Tu avais soudainement besoin de le voir, d'être avec lui. Parler de la mort n'était pas un sujet passionnant ou bien gai, et là, tu avais besoin de ces conversations houleuses avec ton meilleur ami, pour te ramener au présent, à la réalité, même si une part était dissimulée, laissée derrière.

Tu hochas la tête en haussant les sourcils. « O.K. Si tu as besoin d'un nouveau cours, appelles-moi ! » Tu lui emboîtais le pas, mais pas pour la suivre. Dans un élan égoïste, tu la laisserais se débrouiller toute seule pour la suite. Sur le moment, tu avais besoin d'être rassuré d'une manière familière mais tout de même étrange, celle si particulière que tu avais avec Jaehwa. Tu lui fis un signe de la main en prenant une direction différente de la sienne, avec uniquement ta destination en tête. Vraiment, cette conversation avait remué quelque chose en toi, mais tu ne voulais pas y penser maintenant.

••••

by Wiise
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Park Yeonwoo
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Elle est le soleil qui réchauffe,
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MessageSujet: Re: Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ? ft. Kwangsun - Page 2 EmptyDim 14 Jan - 0:03

Défendre ou tuer ? Pourquoi apprendre à tirer ?
ft. Wang Kwang Sun
Si mon tir raté au résultat quelque peu émasculant m’eut fait rire, et toi de plus bel, si un tel incident venait à se produire dans la réalité, je serais bien embêtée. Pire encore, je n’osais imaginé les dégâts occasionnées sur la malheureuse victime de mon inexpérience. Car assurément, jamais je ne dirigerais un pareil tir exprès. Sans doute n’y avait-il pas plus abominable blessure à infliger pour un homme. Entre les risques de mort par hémorragie et, si par miracle, il en ressortait vivant les séquelles aussi bien physiques que psychologiques seraient terrible. Je secouais la tête, non, jamais, je n’infligerais pareille atrocité, j’y veillerais !

Mes essais j’avais réitéré jusqu’à satisfaction. Une première satisfaction car j’étais loin de juger cela suffisant même pour un tout premier entrainement. Cependant, indéniablement, ce fusil ne me convenait. Toi-même, tu partageais cet avis. Je savais que nous nous pouvions nous servir dans l’armurerie comme dans une boulangerie mais je trouverais ridicule et stupide de s’obstiner à m’imposer une arme que je ne pourrais probablement jamais vraiment bien manier. Alors, avec assurance, je m’apprêtais à aller négocier et obtenir gain de cause. Je ne savais si tu m’accompagnerais mais à tes mots et ton attitude, je compris rapidement que non. Ce n’était pas grave, j’y parviendrais bien toute seule. Peut-être mieux ?

Mais en vérité, une fois que je me fus présentée à l’armurerie, je n’eus à batailler. Le responsable de la réserve était présent et se satisfaisait même de me voir venir à lui. Ainsi, il n’aurait à envoyer quelqu’un me trouver car en effet, il y aurait eu erreur dans l’attribution de mon arme ou plutôt, inversion dans les fiches entre deux explorateurs. Ce n’était non plus finalement un fusil que je recevais mais un pistolet 32. J’avais eu à l’annonce de cette erreur, le vague espoir que mon arme véritable ne fut à feu. Néanmoins, je me consolais déjà quelque peu par ce changement. Puis, alors que je tournais déjà les talons prête à me remettre à mon entrainement, l’homme m’interpella. Mon armement ne s’arrêtait pas là et je recevais également un second pistolet, fruit des progrès, recherches et innovations de l’Abri pour celui-ci.



De retour dans la salle d’armes, toi mon professeur de quelques heures, tu t’avérais bel et bien parti. Dire que j’étais surprise serait mentir. Peut-être étais-je un peu curieuse de savoir où tu avais souhaité si rapidement aller, bien qu’une petite idée pointait dans mon esprit. Ton si précieux ami qui à ton opposé, ne me portait pas dans son coeur et si je n’éprouvais pas foncièrement ni jalousie ni ressentiment à son égard, je savais pas lui rendre la pareille de ses réticences. Sans doute de ma part était-ce plus de la malice, un brin revancharde que de la méchanceté. Il semblerait que je sois capable d’en éprouver. Avais-je déjà un jour haït quelqu’un dans ma vie ? Pas que je m’en souvienne. Et ces gens qui m’avaient traité si durement ? Des mains rouges, j’avais fait une famille. Quant aux autres… Je ne saurais certainement parfaitement mettre de mots sur ce que je ressentais à leur égard. Cependant, étrangement, je ne parvenais à éprouver de la haine. Je leur en voulais. Certainement. Mais plutôt, je demeurais encore dans le brouillard de l’incrédulité et l’incompréhension. Je serais presque animée d’une certaine curiosité. Celle de savoir, connaitre et comprendre un peu plus qui sont ces gens. Pourquoi ont-ils agi ainsi ? Certes, rien, aucune raison ne me semblerait jamais valable pour justifier les traitements qu’ils nous ont infligé. Cet esclavage. Mais ce que j’avais appris des rares livres d’histoires, n’était-ce pas là le propre de l’humanité ? Pendant combien de centaines d’années l’esclavage avaient-ils été pratiqué ? Combien d’époque et de civilisations l’ont longuement considéré comme naturel ? Qu’ils existaient différentes races et valeurs entre les gens de part leur naissance. L’instinct humain semblait s’avérer être pour partie ainsi. Je me demandais alors ce qu’il en était du mien. De manière troublante, je m’interrogeais presque sur mon incapacité à détester. Sincèrement détester…

Mes nouvelles armes en main, la plus sophistiquée je déposais sur une table. Chaque chose en son temps, il me paraissait plus raisonnable de me concentrer sur le plus petit calibre pour commencer. À moins peut-être que la technologie du pistolet de l’Abri, le rendait plus aisé à manipuler ? Sur l’objet, mes yeux glissaient. J’avouerai que d’une certaine curiosité je brulais. Mon entêtement si réfractaire à user des armes à feu, peut-être parce que ce pistolet était différent, je me sentais bien l’envie de l’essayer. Quelques instants, j’hésitais. De l’un à l’autre de mes pistolets, mon regard allait et venait. Puis, à la tentation je succombais. Finalement mon petit calibre je posais et du pistolet innovant je m’armais. Oui, c’était une arme, mais pourtant dans l’instant, je le considérais presque plus comme un jouet. Je n’en perdais pas moins conscience de ce qu’il représentait, néanmoins, il ne me révulsait pas autant que mon fusil précédent. Même, face à la cible que je visais désormais, après m’être correctement placée – du moins, le pensais-je – je me prenais presque au jeu. S’attisait en moi la volonté de réussir, d’apprendre et parvenir à réaliser de bons tirs. Alors, sur la détente, j’appuyais. Le tir partait. Le contraste avec le fusil me décontenança. J’appréciais nettement plus le maniement de cette arme, même si, incontestablement, je ratais ma cible. D’ailleurs, quelle partie avais-je visé ? Aucune précisément, juste, la cible. Et je me replaçais. Et je recommençais. Je persévérerais le temps qu’il faudrait pour obtenir satisfaction. Je me savais capable de répéter, d’enchainer jusqu’à être déshydrater. En effet, au fil de mes tirs d’essais, tout d’abord avec le meilleur pistolet puis avec le plus modèle plus classique aussi, je m’inscrivais dans un objectif de continuer jusqu’à ce que ma vue n’en vienne à se troubler s’il le fallait. Mes muscles s’engourdissaient. Se raidissaient. Néanmoins, tir après tir, j’avais l’impression de progresser. Ma maitrise était encore loin d’être parfaite. Probablement ne le serait-t-elle jamais, alors encore moins aujourd’hui. Cependant, j’avais fait un grand pas en avant. Pour la doute première fois, j’avais manié des armes à feu. Pour la toute première fois, je m’étais initiée, exercée et entrainée à cette discipline aussi offensive que défensive. Aujourd’hui, j’avais appris à tirer.



Premier pas sur le chemin d’un apprentissage de longue haleine.
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